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Les universités du Québec s’unissent pour le climat : six webinaires grand public pour faire rayonner les expertises québécoises

En préparation de la Conférence de Dubaï de 2023 sur les changements climatiques (COP 28), qui débutera le 30 novembre prochain, les dix-huit universités du Québec s’unissent en proposant au grand public six webinaires gratuits. Grâce au Réseau universitaire québécois en développement durable (RUQDD), cette initiative permet de vulgariser des expertises reconnues de l’ensemble du milieu universitaire et illustre la nécessité de travailler en partenariat en matière climatique.

À l’occasion de ces webinaires, les chercheuses et les chercheurs des universités membres du RUQDD mettront en lumière les solutions aux enjeux de la crise climatique actuellement développées au Québec.

Des spécialistes de plusieurs domaines de pointe, tels que la justice climatique, l’économie verte, l’écofiscalité et les villes durables, offriront un aperçu des connaissances les plus récentes. Magali Simard-Galdès, détentrice d’une maîtrise en gestion durable, chroniqueuse en environnement à Radio-Canada et chanteuse d’opéra, animera ces webinaires qui s’adressent à toute la population québécoise.

Cette initiative s’inscrit dans le 13e des Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies qui consiste à prendre d’urgence des mesures pour lutter contre les changements climatiques et leurs répercussions.

Ce projet a bénéficié du soutien financier du gouvernement du Québec par l’entremise de l’appel de projets « Mobilisation de la société québécoise dans le cadre de la Conférence de Dubaï sur le climat. » Cet appel de projets s’inscrit dans le cadre du Plan pour une économie verte 2030, dont l’une des mesures consiste à renforcer et à étendre les partenariats stratégiques du Québec en matière de lutte contre les changements climatiques sur les scènes canadienne et internationale.

« Le gouvernement du Québec est fier de soutenir cette initiative qui contribuera à l’acquisition de connaissances et à la compréhension des enjeux de la crise climatique, tout en sensibilisant la population aux meilleures pratiques pour y faire face. En rassemblant les expertises reconnues de notre milieu universitaire, nous mettons aussi en lumière la recherche et les solutions élaborées ici, au Québec, pour relever le défi climatique qui nous attend. » Benoit Charette, ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région des Laurentides.

S’inscrire et consulter le programme complet  : https://unis-climat.teluq.ca

Horaires des webinaires
Ces webinaires seront diffusés en direct le mercredi de 12 h à 13 h 15 du 18 octobre au 22 novembre. Deux d’entre eux seront enregistrés devant public à Montréal.

18 octobre 2023 (en ligne) :Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la COP 28
25 octobre 2023 (en ligne et à la Maison du DD) :COP 28 : Justice climatique, égalité des genres et santé
1er novembre 2023 (en ligne) :Forêts et océans en contexte de changements climatiques
8 novembre 2023 (en ligne) :Climat, eau et systèmes agroalimentaires
15 novembre 2023 (en ligne) :COP 28 : Transition énergétique, économie verte et écofiscalité
22 novembre 2023 (en ligne et à l’ÉTS) :COP28 : où les villes peuvent faire une différence maintenant pour demain

Les universités participantes :

  • École de technologie supérieure (ÉTS)
  • École nationale d’administration publique (ENAP)
  • HEC Montréal
  • Institut national de la recherche scientifique (INRS)
  • Polytechnique Montréal
  • Université Bishop’s
  • Université de Concordia
  • Université de Montréal
  • Université de Sherbrooke
  • Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
  • Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
  • Université du Québec à Montréal (UQAM)
  • Université du Québec à Rimouski (UQAR)
  • Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR)
  • Université du Québec en Outaouais (UQO)
  • Université Laval
  • Université McGill
  • Université TÉLUQ

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REQUÊTES MÉDIA :

Sonia Patenaude
Gestionnaire des communications – Université Bishop’s
819 342-2587 | sonia.patenaude@ubishops.ca

L’Université Bishop’s offrira un nouveau programme de doctorat en psychologie (D. Psy), psychologie clinique en 2024

À compter de l’automne 2024, l’Université Bishop’s offrira un nouveau programme de doctorat en psychologie (D. Psy), psychologie clinique. Cette nouvelle provient d’une collaboration entre l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) et Bishop’s. Il s’agit d’un programme de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) offert par extension à l’Université Bishop’s.

Ce programme se concentre sur la formation de psychologues cliniciens et permettra aux étudiants de mener des évaluations et des interventions psychologiques.  Le programme est accrédité par l’Ordre des psychologues du Québec (OPQ), permettant ainsi aux diplômés du programme d’être éligibles en tant que membres de l’OPQ qui pourront aussi accéder à des postes de psychologues cliniciens.

 

Ce programme se démarque : il est conçu pour les étudiants bilingues (français et anglais), y compris les candidats potentiels issus de milieux systématiquement sous-représentés. Le programme sera enseigné en anglais, cependant, dans le cadre de leurs stages, les étudiants offriront des consultations pour les clientèles francophones et anglophones. Cela profitera à la communauté locale en augmentant l’offre de services de santé mentale bilingues, comblant ainsi une lacune bien documentée dans les services (rapport d’Hélène David).

 

« Historiquement, les services en santé mentale ont fait défaut pour la population anglophone de l’Estrie. De plus, tel que rapporté à plusieurs reprises dans les médias au cours des dernières années, les services actuels en santé mentale pour la population québécoise en général ne suffisent pas à répondre à la demande, indique la Pre. Catherine Malboeuf-Hurtubise, Directrice du programme de psychologie clinique de l’Université Bishop’s.   La situation ne s’est qu’exacerbée depuis la pandémie, avec les impacts qu’on connait sur la santé mentale des gens et les taux de détresse psychologique qui ont augmenté. L’ouverture de ce programme permettra donc de répondre à ce besoin pour la communauté sherbrookoise et estrienne. De plus, notre engagement à accepter une large cohorte de 16 étudiants permettra de répondre à la première recommandation du récent rapport d’Hélène David, qui encourage les universités à augmenter les admissions aux programmes de doctorat en psychologie clinique. »

 

La disponibilité des services de santé mentale a été identifiée comme un secteur prioritaire par le gouvernement du Québec indiquant une demande croissante. Ce programme vise à accueillir une première cohorte de 16 étudiants à l’automne 2024. Au cours de quatre années, ces étudiants seront formés pour devenir des psychologues cliniciens capables d’évaluer et d’aider diverses clientèles, en s’appuyant sur les connaissances scientifiques de la discipline et sur une compréhension approfondie des besoins et des caractéristiques des individus et des communautés.

 

Les candidats intéressés  peuvent obtenir de l’information et l’application (en anglais) sur le site web du programme.

 

La date limite pour appliquer pour la session d’automne 2024 est le 1er février 2024.

SUR LA PHOTO:

Pr. Andrew Webster, Vice-principal Académique et Recherche de l’Université Bishop’s, Pr. Daniel Lalande, Directeur du programme de psychologie clinique de l’Université du Québec à Chicoutimi

Pre. Catherine Malboeuf-Hurtubise, Directrice du programme de psychologie clinique de l’Université Bishop’s, Pr. Sébastien Lebel-Grenier, Principal et vice-chancellier de l’Université Bishop’s

 

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Une étude de l’exoplanète TRAPPIST-1 b dévoile de nouveaux détails sur son atmosphère et son étoile

L’interaction complexe entre l’activité stellaire et les caractéristiques des exoplanètes est révélée dans une étude cosignée par Jason Rowe, professeur à l’Université Bishop’s

TRAPPIST-1 exoplanetary system
Image par Benoît Gougeon, Université de Montréal

Une équipe d’astronomes a fait une avancée importante dans notre compréhension de l’intrigant système exoplanétaire TRAPPIST-1. Leurs recherches ont non seulement permis de mieux comprendre la nature de TRAPPIST-1 b, l’exoplanète qui orbite le plus près de l’étoile du système, mais elles ont également montré l’importance des étoiles parentes dans l’étude des exoplanètes. Les résultats, publiés aujourd’hui dans la revue Astrophysical Journal Letters, mettent en lumière l’interaction complexe entre l’activité stellaire et les caractéristiques des exoplanètes.

Cette représentation artistique de l’étoile naine rouge TRAPPIST-1 met en évidence sa nature très active. L’étoile semble avoir de nombreuses taches stellaires (des régions plus froides de sa surface, semblables aux taches solaires) et des éruptions. L’exoplanète TRAPPIST-1 b, la planète la plus proche de l’étoile du système, est visible au premier plan, sans atmosphère apparente. L’exoplanète TRAPPIST-1 g, l’une des planètes de la zone habitable du système, est visible à l’arrière-plan, à droite de l’étoile. Le système TRAPPIST-1 contient sept exoplanètes de tailles semblables à celle de la Terre. (Crédit : Benoît Gougeon, Université de Montréal)

Un système exoplanétaire prometteur

TRAPPIST-1, une étoile beaucoup plus petite et plus froide que notre Soleil située à environ 40 années-lumière de la Terre, attire l’attention des scientifiques et des amateurs de l’espace depuis la découverte de ses sept exoplanètes de la taille de la Terre en 2016. Ces mondes, tous très rapprochés de leur étoile et dont trois se trouvent dans sa zone habitable, ont alimenté l’espoir de trouver des conditions potentiellement habitables au-delà de notre Système solaire.

Une équipe de recherche, dirigée par Olivia Lim de l’Institut Trottier de recherche sur les exoplanètes (iREx) de l’Université de Montréal (UdeM), a utilisé le puissant télescope spatial James Webb (JWST) pour observer l’exoplanète TRAPPIST-1 b. Ces observations ont été recueillies dans le cadre du plus important programme d’observateurs généraux (GO) dirigé par le Canada au cours de la première année d’exploitation du JWST. Ce programme comprenait également l’observation de trois autres planètes du système, TRAPPIST-1 c, g et h. TRAPPIST-1 b a été observée lors de deux transits, c’est-à-dire le moment où la planète passe devant son étoile, à l’aide de l’instrument canadien NIRISS à bord du JWST.

« Il s’agit des toutes premières observations spectroscopiques d’une planète de TRAPPIST-1 obtenues par le JWST, et nous les attendions depuis des années! », s’exclame Olivia Lim, chercheuse principale de cet important programme GO.

L’étude a utilisé la technique de la spectroscopie de transmission pour obtenir des informations importantes sur les propriétés de ce monde lointain. En analysant la lumière de l’étoile centrale après qu’elle ait traversé l’atmosphère de l’exoplanète lors d’un transit, les astronomes peuvent voir l’empreinte unique laissée par les molécules et les atomes présents dans cette atmosphère.

« Il ne s’agit que d’un petit sous-ensemble des nombreuses observations de ce système planétaire unique qui doivent encore être réalisées et analysées », ajoute René Doyon, chercheur principal de l’instrument NIRISS et co-auteur de l’étude. « Ces premières observations mettent en évidence la puissance de NIRISS et du JWST en général pour sonder les atmosphères minces autour des planètes rocheuses ».

Connaître son étoile, connaître sa planète

La principale conclusion de l’étude est l’impact significatif de l’activité et de la contamination stellaires lorsqu’il s’agit de déterminer la nature d’une exoplanète. La contamination stellaire désigne l’influence des caractéristiques propres à l’étoile, telles que les taches sombres et les plages brillantes (nommées “facules”), sur les mesures de l’atmosphère de l’exoplanète.

L’équipe a trouvé des preuves irréfutables que la contamination stellaire est un facteur incontournable dans l’analyse des spectres de transmission de TRAPPIST-1 b et, sans doute, des autres planètes du système. L’activité de l’étoile centrale peut créer des « signaux fantômes » qui peuvent tromper l’observateur en lui faisant croire qu’il a détecté une molécule particulière dans l’atmosphère de l’exoplanète. Ce résultat souligne l’importance de prendre en compte la contamination stellaire lors de la planification des futures observations de tous les systèmes exoplanétaires. Ceci est particulièrement vrai pour les systèmes comme TRAPPIST-1, puisque le système est centré autour d’une étoile naine rouge qui peut être particulièrement active avec des taches stellaires et des éruptions fréquentes.

« En plus de la contamination par les taches stellaires et les facules, nous avons observé une éruption stellaire, un événement imprévisible au cours duquel l’étoile devient plus brillante pendant plusieurs minutes ou plusieurs heures », explique Olivia Lim. « Cette éruption a affecté notre mesure de la quantité de lumière bloquée par la planète. De telles signatures de l’activité stellaire sont difficiles à modéliser, mais nous devons en tenir compte pour être sûrs d’interpréter correctement les données. »

Pas d’atmosphère significative sur TRAPPIST-1 b

Si les sept planètes de TRAPPIST-1 ont été des candidates séduisantes dans la recherche d’une Terre 2.0, une exoplanète semblable à notre Terre, la proximité de TRAPPIST-1 b avec son étoile signifie qu’elle se trouve dans des conditions plus difficiles que ses consoeurs. Elle reçoit quatre fois plus de rayonnement stellaire que la Terre et sa température de surface se situe entre 120 et 220 degrés Celsius. Cependant, si TRAPPIST-1 b avait une atmosphère, elle serait la plus facile à détecter et à caractériser de toutes les cibles du système. TRAPPIST-1 b étant la planète la plus proche de son étoile et donc la plus chaude du système, son transit crée un signal plus fort. Tous ces facteurs font de TRAPPIST-1 b une cible d’observation importante, mais posant un défi considérable.

Pour tenir compte de l’impact de la contamination stellaire, l’équipe a procédé à deux extractions atmosphériques indépendantes, soit des techniques permettant de déterminer le type d’atmosphère présent sur TRAPPIST-1 b sur la base des observations. Dans la première approche, la contamination stellaire a été supprimée des données avant leur analyse. Dans la seconde approche, la contamination stellaire et l’atmosphère planétaire ont été modélisées et ajustées simultanément. Dans les deux cas, les résultats ont indiqué que les spectres de TRAPPIST-1 b pouvaient bien correspondre à la contamination stellaire modélisée sans autres facteurs. Cela suggère qu’il n’y a pas de preuve d’une atmosphère significative sur la planète. Un tel résultat est fondamental, car il indique aux astronomes quels types d’atmosphères sont incompatibles avec les données observées.

Sur la base des observations recueillies par le JWST, Olivia Lim et son équipe ont exploré une série de modèles atmosphériques pour TRAPPIST-1 b, en examinant diverses compositions et divers scénarios possibles. Ils ont constaté que les atmosphères sans nuages et riches en hydrogène étaient exclues avec un degré de confiance élevé. Cela signifie qu’il ne semble pas y avoir d’atmosphère claire et étendue autour de TRAPPIST-1 b. Cependant, les données n’ont pas permis d’exclure avec certitude des atmosphères plus fines, telles que celles composées d’eau pure, de dioxyde de carbone ou de méthane, ni une atmosphère similaire à celle de Titan, une lune de Saturne et la seule lune du Système solaire à posséder sa propre atmosphère. Ces résultats correspondent bien avec ceux des observations précédentes de TRAPPIST-1 b (photométriques, et non spectroscopiques) effectuées par le JWST (Greene, et al. et Ih, et al.) à l’aide de l’instrument MIRI. En outre, l’étude a prouvé que l’instrument canadien NIRISS est un outil très performant et sensible, capable de sonder les atmosphères des exoplanètes de la taille de la Terre à des niveaux impressionnants.

Les nouvelles connaissances acquises grâce à cette étude ont permis aux scientifiques d’approfondir leur compréhension du système TRAPPIST-1 et de souligner la nécessité d’effectuer davantage d’observations et de recherches approfondies qui tiennent compte à la fois de la contamination stellaire et de l’atmosphère des planètes. Alors que les astronomes continuent d’explorer les vastes étendues de l’espace, ces résultats guideront les futurs programmes d’observation du JWST et d’autres missions, et contribueront à une meilleure compréhension des atmosphères exoplanétaires et de leur habitabilité potentielle.

À propos de l’étude

L’article “Atmospheric Reconnaissance of TRAPPIST-1 b with JWST/NIRISS: Evidence for Strong Stellar Contamination in the Transmission Spectra” a été publié dans la revue Astrophysical Journal Letters le 22 septembre 2023. L’auteure principale est Olivia Lim, doctorante à l’Institut Trottier de recherche sur les exoplanètes de l’Université de Montréal (UdeM). Les autres chercheurs de l’iREx qui ont contribué à cet article sont Björn Benneke (UdeM), René Doyon (UdeM), Caroline Piaulet (UdeM), Étienne Artigau (UdeM), Louis-Philippe Coulombe (UdeM), Michael Radica (UdeM), Alexandrine L’Heureux (UdeM), Loïc Albert (UdeM), Salma Salhi (UdeM et Université de Calgary), Pierre-Alexis Roy (UdeM), Marylou Fournier-Tondreau (UdeM), Jake Taylor (UdeM et Université d’Oxford), Neil Cook (UdeM), David Lafrenière (UdeM), Nicolas Cowan (Université McGill), Jason Rowe (Université Bishop’s), Lisa Dang (UdeM), et Antoine Darveau-Bernier (UdeM). D’autres contributeurs sont basés à l’Université du Michigan, au MIT, à l’Université Cornell, au STScI, et à l’Université Johns Hopkins.

Pour en savoir plus

Article scientifique sur ApJL

Article scientifique sur arXiv

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Source :
Université de Montréal

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Cérémonie officielle de l’installation du 19e Principal et Vice-chancelier à l’Université Bishop’s

Le Chancelier de l’Université Bishop’s Daniel Fournier présidera la 196ème cérémonie de la Collation des grades et de l’Installation officielle du Pr. Sébastien Lebel-Grenier en tant que 19e Principal et Vice-chancelier de l’Université, le vendredi 22 septembre à 11 h dans le Théâtre Centennial.

La Collation des grades est également une occasion de reconnaître des accomplissements extraordinaires en décernant des Doctorats en Droit Civil (D.C.L.) Honoris Causa à des individus de mérite – l’ancienne rectrice de l’Université de Sherbrooke, Luce Samoisette et l’artiste contemporaine Heidi Feldman Spector seront honorées lors de cette cérémonie.

Quoi :       196ème cérémonie de la Collation des grades et de l’Installation du Principal et Vice-chancelier

Quand :   Le vendredi 22 septembre 2023 à 11 h 00

Lieu :       Théâtre Centennial, Université Bishop’s (B10 sur la carte du campus)

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Renseignements et confirmations de présence :

Sonia Patenaude, gestionnaire des communications
Bureau des communications, Université Bishop’s
819 822-9600, poste 2617
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La Pre. Vivian Valencia nommée titulaire de la nouvelle Chaire de recherche en agriculture durable et action climatique

La Pre. Vivian Valencia du programme d’agriculture et systèmes alimentaires durables (ASAD) de l’Université Bishop’s est nommée titulaire de la nouvelle Chaire de recherche en agriculture durable et action climatique (ADAC). Son rôle implique la création d’un réseau de phares, « Lighthouse Network, » une collection d’exemples innovateurs et inspirants dans les systèmes agroalimentaires.  Cette initiative est soutenue par le Groupe Banque TD, par le biais de la plateforme corporative citoyenne, Prêts à agir.

La Pre. Valencia est dédiée à s’attaquer aux défis importants que posent les changements climatiques et la perte de diversité.  Sa recherche se penche principalement sur l’identification et l’analyse de récits exceptionnels que l’on nomme « phares ».  Ce sont des instances d’initiatives remarquables qui proposent des alternatives innovantes aux systèmes agroalimentaires conventionnels.

Par une analyse en profondeur de ces cas exceptionnels, la Pre. Valencia veut dévoiler les facteurs clés qui contribuent à leur succès.  Son objectif est de formuler des stratégies qui servent à amplifier leurs impacts positifs. En mettant en lumière ces créneaux d’innovation et de progrès, son intention est aussi de créer des histoires positives pour l’avenir. Cette approche cherche à inspirer des actions constructives qui ont pour but d’établir des systèmes agroalimentaires résilients et durables au Québec et partout ailleurs.

La Chaire de recherche ADAC étudiera les pratiques d’utilisation durable des terres qui favorisent la santé écologique et soutiennent le secteur agricole dans sa transition vers une économie à faible émission de carbone. En générant des connaissances et en sensibilisant les étudiants, les agriculteurs et le grand public, la Chaire de recherche contribuera activement au changement culturel nécessaire pour atteindre ces objectifs de durabilité.

« Le programme ADAC est unique et passionnant car il met fortement l’accent sur l’amélioration de la durabilité de tous les aspects des systèmes agricoles et alimentaires, englobant les aspects sociaux, économiques et environnementaux de l’ensemble du système », explique la Pre. Valencia. Dans le cadre du programme ASAD, elle a créé son premier cours sur les systèmes alimentaires, AGR11 : Lighthouse Farms for Sustainable Futures, qui a débuté la dernière session d’hiver 2023.

« Le Groupe Banque TD est fier de soutenir la Chaire de recherche Agriculture durable et action climatique TD de l’Université Bishop’s. En appuyant des projets novateurs qui favorisent une agriculture durable et une transition vers une économie à faibles émissions de carbone, nous savons que nous contribuons activement à créer un avenir où les clients et les collectivités que nous servons pourront se développer et s’épanouir. » – Sylvie Demers, présidente, Direction du Québec, Groupe Banque TD.

« L’approche innovatrice de la Pre. Valencia au niveau de la recherche détient à tout le potentiel pour transformer le portrait agricole du Québec vers des pratiques plus durables et résistantes au climat.  Elle reconnaît et s’appuie sur les idées créatives des agriculteurs québécois, les incluant ainsi dans l’initiative de recherche. Cette approche de production participative génère plus d’idées et augmente l’efficacité de la mise en œuvre d’approches réussies dans la communauté » indique le Pr. Matthew Peros, doyen des sciences sociales à l’Université Bishop’s.

Le programme d’agriculture et de systèmes alimentaires durables a récemment commencé à offrir des majeures, des mineures, des certificats ainsi que des maîtrises individualisées. La création de cette nouvelle Chaire de recherche témoigne de l’engagement de l’Université Bishop’s envers les plus hauts standards d’excellence académique pour le programme ASAD.

Le Groupe TD, en tant que Supporter Fondateur de la Chaire de recherche ACAD a investi une somme de $500,000 pour l’Université Bishop’s en 2022, afin de soutenir la Chaire de recherche ainsi que la ferme éducative.

La Chaire de recherche ACAD collaborera avec des fermiers de la région, des organismes communautaires, des décideurs, des planificateurs financiers pour faire de la recherche dans les Cantons de l’Est et sur la ferme éducative. Cette collaboration mènera à des pratiques innovatrices propices aux conditions grandissantes et à la culture du Québec.

La chaire partagera les données de recherche par l’entremise de plusieurs réseaux, incluant des publications académiques, des entrevues avec les médias, les médias sociaux, des présentations devant public, rencontrera avec groupes de fermier et conférenciers dans les écoles.

Les fonds pour la ferme éducative seront utilisés pour poursuivre son développement, incluant la plantation d’un verger, une plantation de petits fruits, une plantation d’un verger, une plantation de noix et des études supplémentaires et du soutien sur place.

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MEDIA INQUIRIES:

Sonia Patenaude
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Announce d’une nouvelle chaire de recherche à l’Université Bishop’s

Un point de presse aura lieu à l’Université Bishop’s le 7 septembre prochain à 13 h, afin d’annoncer la création d’une nouvelle chaire de recherche qui se penchera sur des enjeux majeurs pour la société tout en répondant aux priorités de développement durable de Bishop’s.

Le Pr. Sébastien Lebel-Grenier, Principal et Vice-chancelier de l’Université Bishop’s prendra la parole ainsi que le Pr. Mathew Peros, Doyen des sciences sociales.

Date :  Jeudi 7 septembre 2023

Heure :  13 h 00

Lieu :
Ferme éducative de l’Université Bishop’s
3075a, chemin Glenday – comment s’y rendre
Sherbrooke (Québec)  J1M 0C2

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Une avancée majeure dans la lutte au myriophylle à épis – l’intelligence artificielle vient en aide aux riverains

Une avancée majeure vient d’être franchie dans la lutte au myriophylle à épis. L’Université Bishop’s, en partenariat avec le RAPPEL, a réalisé la première application mondiale d’un drone aquatique pour améliorer l’efficacité d’un projet de lutte contre les plantes aquatiques exotiques envahissantes.

Projet mené par le Undergraduate Bishop’s Earth Research Group (UBERG), et plus précisément par Steven Poulin, étudiant à la maîtrise en sciences informatiques à l’Université Bishop’s, le drone aquatique a sillonné des lacs de l’Estrie et de l’Outaouais dans la dernière année. L’objectif : bâtir une banque d’images pour son système d’apprentissage profond (deep-learning). De cette façon, plus de 60 000 images de plantes aquatiques ont été intégrées au drone qui peut maintenant reconnaître, de manière autonome, douze espèces de plantes aquatiques avec une efficacité de plus de 95 %, surpassant la performance humaine.

Le RAPPEL, expert dans les stratégies de lutte au myriophylle à épis, a procédé, dans les dernières semaines, à l’application concrète du drone pour ses opérations. En collaboration avec l’Association pour la protection de l’environnement du lac O’Malley (APELO), le RAPPEL a utilisé le drone aquatique pour ses travaux au lac O’Malley, situé à Austin. Le drone a d’abord parcouru le plan d’eau, puis le RAPPEL s’est servi du type de données obtenues, soit la cartographie et l’identification des plans unitaires de myriophylle à épis. Résultat : des opérations d’arrachage manuel basées sur un géoréférencement de précision, une première au monde.

L’Association de protection de l’environnement du lac O’Malley tient à féliciter l’équipe de l’Université Bishop ainsi que celle du RAPPEL pour ce pas important dans la lutte contre le myriophylle à épis. Notre association est fière d’avoir participé à ce projet de recherche et de continuer d’être à l’avant-garde dans le contrôle de cette plante exotique envahissante.Michèle Lafond, présidente de l’APELO

Cette avancée est déterminante, car elle permettra de diminuer les coûts de contrôle des plantes aquatiques exotiques envahissantes. En effet, la cartographie produite à l’aide du drone offre une précision de 10 à 15 cm, diminuant le temps de positionnement des plongeurs qui procèdent à l’arrachage sous l’eau. Les applications d’une telle technologie pour améliorer la connaissance d’un milieu aquatique et pour réaliser les inventaires floristiques sont également très encourageantes.

Sur cette lancée prometteuse, l’équipe de recherche espère maintenant obtenir les fonds nécessaires pour produire d’autres drones du même type et en faire profiter à une plus grande proportion des acteurs de la protection de l’eau.

UBERG

Le Undergraduate Bishop’s Earth Research Group (UBERG) est une organisation de l’Université Bishop’s qui vise à offrir aux étudiants de premier cycle des expériences de recherche approfondies et significatives sur des sujets géospatiaux appliqués. Sa mission est de mener des projets de recherche environnementaux qui profitent à la communauté environnante tout en offrant aux étudiants de premier cycle des opportunités éducatives pour développer des compétences en recherche appliquée. Le projet du drone aquatique UBER-Gaiter a mobilisé de nombreuses personnes de la communauté étudiante dans les dernières années. Conçu en 2018 et assemblé en 2019, le module d’acquisition du drone s’est déployé en 2020 avant d’être mis sur pause pendant la pandémie de COVID-19. C’est à l’hiver 2022 que Steven Poulin, co-supervisé par les chercheurs et chargés de cours Bruno Courtemanche et Russel Butler, a redonné vie au projet de drone aquatique et lui a permis d’être utilisé pour la première fois dans un contexte opérationnel.

RAPPEL

Le RAPPEL (Regroupement des associations pour la protection de l’environnement des lacs et des bassins versants) a été créé en 1997 par des associations de lacs qui désiraient se regrouper afin de mieux protéger leur plan d’eau respectif. Maintenant sous la forme juridique d’une coopérative de solidarité à but non lucratif gérée démocratiquement par ses membres, le RAPPEL est porté par 350 membres, dont plus de 160 associations et une quarantaine de municipalités, réparties dans 11 régions administratives du Québec. Au cœur de la coopérative se trouve une équipe professionnelle multidisciplinaire composée de spécialistes en biologie, ingénierie, géomorphologie, géographie et de techniciens et techniciennes en écologie. L’expertise du personnel vise à appuyer le travail quotidien des bénévoles des associations et des autres acteurs de la protection de l’eau. Reconnu pour son expertise dans la lutte au myriophylle à épis, le RAPPEL s’implique depuis plusieurs années dans le projet de drone aquatique, que ce soit par le partage de données, la mise en contact avec des associations de lacs, du partage d’équipement de recherche ou de ressources humaines.

Rappel logo

APELO

L’Association pour la protection de l’environnement du lac O’Malley (APELO) œuvre depuis 1979 afin de préserver la santé du lac. Elle a pour but est de regrouper tous les riverains et tous les propriétaires ayant accès au lac autour d’une même cause : la protection du lac et de son environnement. Le lac O’Malley est le deuxième lac du Québec qui a fait le pas vers l’expérimentation du bâchage par toiles de jute comme méthode de lutte contre l’envahissement du myriophylle à épis dans le plan d’eau. Ainsi, le lac a été témoin de nombreux tests, réalisés par le RAPPEL, pour développer une stratégie de contrôle optimale. Les opérations, qui se sont avérées très efficaces, ont permis de réduire significativement le myriophylle à épis dans le lac. L’association, qui a accepté que l’équipe professionnelle utilise le drone à un stade de recherche et développement, est la première à bénéficier de l’opérationnalisation de ce dernier.

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Pour plus de renseignements :

Angélie Bellerose-Langlois | Coordonnatrice au marketing et aux communications | RAPPEL
819 636-0092, poste 229
angelie.b.langlois@rappel.qc.ca

Sonia Patenaude | Gestionnaire des communications | Université Bishop’s
819 342-2587
spatenau@ubishops.ca

L’Université Bishop’s lancera les travaux de Kwigw8mna – Une étape importante du projet a été franchie avec un appel d’offres réussi et un financement supplémentaire confirmé

L’Université Bishop’s est prête à aller de l’avant cet été avec le projet Kwigw8mna, qui signifie « notre maison (à toutes et à tous) », dans la langue Abénaquise.  L’Université a récemment approuvé une soumission satisfaisante dans le cadre de son appel d’offres et a obtenu du financement du ministère de l’Enseignement supérieur, de donateurs et autres sources.

Kwigw8mna, qui comprendra un espace dédié aux étudiants autochtones pour se rassembler afin de discuter et partager, et aussi pour promouvoir l’apprentissage au niveau culturel et académique, se concrétisera. Kwigw8mna vise également à aider les étudiant.e.s à réussir et à atteindre leur plus haut potentiel académique en travaillant avec eux pour tirer le meilleur parti des nombreuses ressources disponibles.

Kwigw8mna facilitera le dialogue et les interactions entre les étudiant.e.s autochtones et non-autochtones à l’Université Bishop’s et contribuera grandement à l’enseignement et à la recherche sur des sujets autochtones. Cette phase du projet représente le point culminant d’années d’efforts et de dialogue auxquels toute la communauté de Bishop’s a pris part.

« J’ai été témoin et j’ai travaillé sur l’évolution du projet Kwigw8mna pendant mes années en tant qu’étudiante et maintenant en tant que membre du personnel. C’est très gratifiant de voir cette initiative importante enfin menée à bien grâce aux efforts soutenus de tant de gens qui méritent d’être fières et fiers aujourd’hui. Je suis ravie de l’avenir de Kwigw8mna et de la façon dont il augmentera les opportunités d’apprentissage interculturel, de visibilité et de développement communautaire ! », indique Shawna Chatterton Jerome ’21, coordonnatrice des services de soutien aux étudiant.e.s autochtones et récente diplômée de Bishop’s.

« Kwigw8mna fournira un espace permettant à chacun d’en apprendre davantage sur les perspectives et les préoccupations autochtones, que ce soit en visitant la maison et en interagissant avec les membres autochtones de la communauté, mais aussi en étant une ressource où la recherche sur ces sujets se vit et se développe en temps réel dans notre communauté », ajoute le Pr. Genner Llanes-Ortiz, titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les indigénéités numériques, du département de sociologie de Bishop’s.

« Nous espérons que Kwigw8mna soit représentatif de notre accueil de tous sur le territoire Abénaki. Nous sommes très satisfaits des liens solides de confiance et d’amitié que nous nous avons tissés avec les membres de la communauté de l’Université Bishop’s et nous souhaitons qu’ils perdurent, » remarque le Chef d’Odanak Richard O’Bomsawin

« Les Abénakis sont les premiers responsables des terres sur lesquelles Bishop’s est située. Je suis reconnaissant au chef O’Bomsawin d’avoir proposé le nom Kwigw8mna, car il reflète notre aspiration à ce que ce bâtiment soit un foyer pour les membres autochtones de nos communautés étudiante et professorale et pour la communauté de Bishop’s dans son ensemble », déclare Michael Goldbloom, C.M., Principal et vice-chancelier de l’Université Bishop’s.

« Je suis très fière de confirmer un investissement supplémentaire de 4,8 millions de dollars pour la réalisation du projet Kwigw8mna à l’Université Bishop’s. Un lieu comme celui-ci permettra vraiment aux cultures autochtones de rayonner au sein de l’Université. L’enseignement supérieur est un vecteur important de développement pour toutes les communautés, mais ce l’est encore plus pour les communautés autochtones. Favoriser l’accès aux études supérieures aux étudiants issus de ces communautés est primordial pour notre gouvernement! », indique Pascale Déry, ministre de l’Enseignement supérieur.

« Je ne peux qu’applaudir ce projet qui offrira un lieu de rencontre pour les étudiants, les professeurs et les chercheurs d’origine autochtone qui fréquentent le campus. Les espaces ont été conçus par et pour les communautés autochtones, et aussi dans le but d’encourager les échanges interculturels. Il faut mettre en évidence cet aspect, car c’est dans la rencontre qu’on apprend, qu’on grandit, et qu’on peut aspirer à cet esprit de réconciliation. Merci à tous les porteurs de ce beau projet! » exprime Geneviève Hébert, députée de Saint-François et whip adjointe du gouvernement.

Les sources de financement du projet de 16,3 M $ sont les suivantes :

  • Fonds spéciaux d’immobilisations (PQI) du gouvernement du Québec : 10,7 M $
  • Fond régulier d’immobilisations (PQI) du gouvernement du Québec: 2 M $
  • Fond de fonctionnement de l’Université Bishop’s : 1,9 M $
  • Contributions philanthropiques : 1 M $
  • Gouvernement du Canada : 700 000 $

Les travaux devraient commencer début août.

« Une fois le projet terminé, Kwigw8mna démontrera davantage l’engagement de l’Université Bishop’s à offrir un environnement d’apprentissage centré sur l’étudiant dans une communauté inclusive et respectueuse. Il reflète également notre engagement envers le développement durable par la préservation de l’un des plus anciens bâtiments du campus », ajoute Isabelle Goyette, Vice-principale aux finances et à l’administration.

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Importante annonce au sujet du projet Kwigw8mna

L’Université Bishop’s invite les médias à une annonce portant sur le projet Kwigw8mna le lundi 19 juin, 2023. Veuillez noter qu’en cas de pluie, l’événement se tiendra à l’Agora McConnell de la Bibliothèque et carrefour des ressources éducatives.

QUOI :  Kwigw8mna Project Announcement

QUAND :  Monday, June 19, 2023, at 2 p.m.

OÙ :
Kwigw8mna ou Agora McConnell
Université Bishop’s
2600, rue Collège, Sherbrooke

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REQUÊTES MÉDIA :

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Gestionnaire des communications
819 822-9600 poste 2617
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Des étudiants de l’Université Bishop’s présentent la première sherbrookoise de The Drowsy Chaperone avec surtitres français

Les étudiants inscrits au cours d’interprétation du semestre de printemps de la concentration en Comédie musicale de l’Université Bishop’s présenteront la première sherbrookoise de The Drowsy Chaperone, avec surtitres en français, mettant en vedette la première cohorte de finissants du programme du 29 mai au 10 juin au Studio Théâtre Turner.

Le Pr Art Babayants dirige sa deuxième production pour la concentration en Comédie musicale de l’Université Bishop’s et a choisi la comédie musicale récipiendaire de cinq Tony Awards, The Drowsy Chaperone, une création canadienne de Lisa Lambert et Greg Morrison (paroles et musique) et Bob Martin et Don McKellar (livret). Fannie Gaudette, directrice des Chanteurs de l’Université Bishop’s, assure la direction musicale, Chantal Carrier signe la chorégraphie et Adam Provencher a assuré la conception des décors et des costumes.

Les lumières de scène sont éteintes, un homme assis sur une chaise apparaît sur scène et met son disque préféré sur le gramophone : l’enregistrement de la distribution d’une comédie musicale fictive de 1928. L’enregistrement prend vie et The Drowsy Chaperone commence sous le regard du narrateur. Prenez deux amoureux à la veille de leur mariage, un garçon d’honneur, un producteur de théâtre désespéré, une hôtesse moins que brillante, deux gangsters se faisant passer pour des pâtissiers, un Don Juan égaré et une chaperonne ivre, et vous avez les ingrédients pour une soirée délectablement folle.

Sophie Kaplan dans le rôle de Mme Tottendale et Tyler Casat dans le rôle de Robert Martin sont issus de la première cohorte de diplômés de la concentration en théâtre musical de l’Université Bishop’s. Alors que la plupart des acteurs sont inscrits dans les programmes d’art dramatique ou de musique, des étudiants de divers programmes soit, éducation, sociologie, informatique et histoire chanteront et danseront également sur la scène du Studio Théâtre Turner.

La production vise l’inclusion dans la distribution d’interprètes de divers horizons culturels et aussi pour les membres francophones de la communauté dont la langue maternelle n’est pas l’anglais. Une première pour une production théâtrale à Bishop’s, des surtitres en français seront affichés tout au long du spectacle pour le texte parlé. Les numéros musicaux seront interprétés en anglais.

D’une durée de 2 heures avec entr’acte, la comédie musicale The Drowsy Chaperone convient à un public de douze ans et plus.

Les billets sont disponibles à la billetterie du Théâtre Centennial en personne du lundi au vendredi, en ligne sur le réseau Lepointdevente ainsi que par téléphone 819 822-9692.

The Drowsy Chaperone, a musical within a comedy.

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Gestionnaire des communications – Université Bishop’s
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